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Accueil > Zibalbul > Compagnie des Transports Zibalbes
Avec les habitants de l’IME et du foyer de vie Le Coin du Loup (Saint-Jans-Cappel) et le club photo du CSE d’Hazebrouck.
Le moutard
Quand on est trop jeune pour être marin, on est mousse. Et quand on est trop jeune pour être mousse, on est moutard. La Compagnie des Transports Zibalbes est heureuse d’embarquer avec Tiziano. D’abord parce qu’il peut détecter la moindre variation dans le régime du moteur, mais surtout parce que c’est lui qui distribue les paniers-repas.
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
Le mécano
Avoir à la fois les mains dans le cambouis et le regard sur l’horizon, c’est faire un lien entre deux mondes. Le trivial et le sublime, le matériel et le spirituel, l’ici et l’ailleurs, le présent et le futur. C’est pourquoi Walter est considéré comme une sorte de medium.
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
La vigie
Sur un bateau, la vigie est en haut. Sur un dirigeable, elle est en bas. Le rôle de Juliette est essentiel : elle doit s’assurer que l’engin ne risque pas de se déchirer sur une des éoliennes géantes qui parsèment l’archipel zibalbe. Pour garder la vue perçante, Juliette doit manger des kilogrammes de carottes.
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
La chef de cabine
Emma a été embauchée parce qu’elle aimait trier les boulons. Et puis on s’est aperçu qu’elle n’aimait rien tant que changer de métier. Elle a donc été successivement colmateuse, responsable manométrique, carburatrice, et enfin maître d’hôtel (elle s’entraîne ici à porter le plateau).
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
Le pilote
Un jour, ses professeurs ont dit à Jessy : « change d’attitude ! » À cause d’une oreille bouchée, il a compris « change d’altitude ! » Depuis, il a passé son brevet de pilote. À la CTZ, c’est lui qui comptabilise le plus d’heures de vol.
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
La pneumaugure
Impensable de lancer un dirigeable sans s’assurer la faveur des vents. C’est pourquoi on fait appel à Malika la Pneumaugure, seule capable de déchiffrer le sens des vents futurs dans les variations du vol des oiseaux.
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
L’euphémiste
Avant le premier vol d’un aérostat, tout armateur responsable fait venir Simon l’Euphémiste. Pas question d’inaugurer un ballon en cassant une bouteille de champagne, comme avec les navires. C’est par des poèmes que Simon attire la bénédiction du Grand Papillon.
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
La capitaine et le mousse
D’un naturel optimiste, Capitaine Florence sait affronter les tempêtes en appliquant la règle numéro 1 : prendre de la hauteur. Erwann l’assiste parfaitement, notamment par sa connaissance poussée dans l’analyse morphologique des nuages. Tous deux forment ce qu’il est convenu d’appeler une fine équipe.
Photo Didier Kapitza / Club-photo du CSE Hazebrouck
